samedi 4 novembre 2017

La fin du système monétaire

Et ce n'est que le début. Préparez vous à

La fin du système monétaire

Réservez votre place à la conférence exclusive avec Olivier Delamarche,
jeudi 02 novembre à 19h
 
Chère lectrice, cher lecteur,

À l’heure où j’écris ces lignes, ce sont déjà 448 milliards d’euros qui se sont volatilisés de vos comptes en banque depuis l’an 2000 (et surtout depuis 2008)... Et vous allez voir que la méthode est simple mais terriblement efficace et vicieuse... Et elle s’accélère !!
C’est comme si l’État avait doublé vos impôts depuis près de 20 ans... Mais sans vous le dire. Et surtout sans que vous ne vous en rendiez compte... Encore.
Le problème c’est que ces centaines de milliards d’euros n’ont pas été utilisés pour construire des routes ou des hôpitaux, pour aider les plus faibles ou améliorer les services de l’État... Non, tout cet argent a servi non seulement à renflouer des banquiers gangsters mais à les enrichir ainsi que les puissants qu’ils servent.
Surtout, ces milliards contribuent au déséquilibre mortel de notre société au bord de l’implosion. Comme vous allez voir dans cette lettre, plus ils vous prennent, plus ils sont obligés de vous prendre. C’est la course folle de la dette qui s’accélère sans cesse et qui s’est transformé en guerre à mort.
J’ai travaillé d’arrache pied sur cette lettre qui est peut-être une des plus importantes que j’ai jamais écrite.

Elle est plus importante que :
  • Les risques de confiscation de votre assurance-vie ;
  • La grande crise bancaire européenne ou même ;
  • L’interdiction programmée de l’argent liquide.
J'ai sur mon bureau la dernière étude de l'économiste et stratégiste Olivier Delamarche sur le système monétaire. Et je voudrais vous l'envoyer tant elle est importante.
Toutes les monnaies de papier finissent par valoir zéro. C'est une vérité aussi simple est puissante que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel... Cela vous semble sans doute impossible mais Les dinausaures devaient se trouver bien puissants juste avant de disparaître.
L'Euro est aujourd'hui en soins palliatifs. Les banques doivent éponger 1 000 milliards d'euros de mauvaises créances après l'aide massive de la BCE. Les déséquilibres au sein de la zone sont plus forts et les dettes plus massives que quiconque aurait seulement imaginé en 2008. 
La sécurité aux frontières est corrompue et la grogne monte dans les régions indépendantistes.
Surtout Olivier vous montre dans son étude ce qui se passe APRÈS. Comment la Chine et la Russie s'activent en coulisse. Comment les États-Unis répliquent... Et l'Europe patauge.
La lutte pour la domination du XXIe siècle est engagée.
C’est une guerre où la sécurité financière et physique de votre famille est en jeu mais il en va aussi de votre indépendance et de votre liberté.

Naissance des 1%

Il y avait 229 milliardaires dans le monde entier il y a 20 ans. Ils sont 1940 cette année selon le classement du magazine Forbes... C’est presque 10 fois plus.

Mais surtout leur nombre a doublé depuis la crise et la fortune cumulée des milliardaires dans le monde est aujourd’hui estimée à 7 700 milliards de dollars.

Si l’on ajoute à ce groupe les fortunes qui possèdent plus de 100 millions de dollars de patrimoine (ou centa-millionaires), ce sont 40 000 milliards de dollars qui sont détenus par ces ultra-riches... 


Mais d’où sortent-ils tout cet argent ?

Ce n’est pas compliqué, cette élite s’est accaparé toute la richesse créée depuis la fin du XXe siècle.

Le graphique ci-dessous représente l’augmentation des revenus selon votre richesse : en 1980, les ménages les plus pauvres voyaient leurs revenus augmenter davantage que ceux des plus riches... Mais en 2014 c’est l’inverse : la presque totalité de la création de richesse est captée... non par les riches mais les super riches.



Il est probable que vous ressentiez au quotidien ce hold-up généralisé face à la débauche et les excès de cette nouvelle élite prête à tout pour accumuler et exhiber le plus de richesses possible.

Pourtant les chiffres et les médias qui les reprennent la bouche en cœur semblent dire le contraire...

Vous n’auriez jamais été aussi riche et la France si prospère... Le PIB n’arrête pas de croître ainsi que votre richesse.

Selon la comptabilité nationale, le patrimoine moyen d’un ménage s’élevait a 229 000€ en l’an 2000 contre 377 000 aujourd’hui.

Cela représente une augmentation de 65%.

C’est certes faible par rapport aux 750% de hausse des milliardaires mais ce n’est pas rien...

Le seul gagnant de la hausse du marché immobilier, c’est l’État

Si l’on exclut les 1% les plus riches, la part de l’immobilier est passé de 50% à 70% de votre patrimoine... C’est normal, les prix de l’immobilier ont doublé depuis l’an 2000, pas les placements financiers et de loin (le CAC40 n’a pas encore retrouvé ses niveaux de l’an 2000).

C’est très important car la richesse immobilière est presqu’exclusivement constituée des résidences principales (à 90%). Votre maison a en moyenne doublé de valeur depuis l’an 2000... Mais c’est toujours la même maison.

Franchement, vous préfèreriez que votre maison ne vaille pas un centime de plus qu’en l’an 2000. Cela vous ferait économiser beaucoup d’impôts et vous permettrait de la transmettre bien plus facilement...

Le jour où vous voulez déménager, votre prochaine résidence vaudra elle aussi 2 fois plus cher et vous paierez beaucoup plus de frais de transfert et de notaire. Vous serez obligé de vous loger plus modestement ou de vous saigner un peu plus...  plus votre résidence prend de la valeur moins vous pouvez vous reloger le jour où vous la vendez.

C’est la belle arithmétique de l’État et du banquier : vous gagnez plus mais cela vaut moins !

L’augmentation de la valeur immobilière de votre patrimoine est de la poudre aux yeux car les maisons elles, n’ont pas changé.

-32 000€ sur votre épargne financière

Autant votre patrimoine immobilier est stable tant que vous ne cherchez pas à en changer ou à le transmettre, autant votre patrimoine financier se fait tailler des croupières.

En ôtant les 1% les plus riches des comptes nationaux, les ménages ont vu leur épargne financière stagner entre l’an 2000 et fin 2015 en prenant en compte l’inflation officielle (1,4% en moyenne selon l’INSEE).

Mais les chiffres de l’inflation française sont connus pour être une vaste mascarade.

L’INSEE estime par exemple que les coûts du logement, charges et entretien compris, sont de 14% de vos revenus... Le revenu moyen des ménages en France est de 2100€, cela voudrait dire que l’on dépenserait 300€ pour son logement charges et entretien compris... Sauf que le loyer moyen en France est de 628€. C’est bien 30% que l’on dépense pour son logement comme vous l’auriez imaginé.

L’inflation ne prend pas non plus les hausses d’impôts et de côtisations... qui ont augmenté de 50% rien que depuis 2008. Or il est indispensable de prendre en compte cette hausse qui traduit les augmentations de coûts liés aux services essentiels tels la santé, les transports et la gestion de l’État dans son ensemble.

Je passe d’autres moyens plus vicieux utilisés par l’INSEE pour maquiller les vrais chiffres de l’inflation (modifications du panier de la ménagère, prise en compte d’un « effet d’innovation »...)

Mais simplement en reportant l’augmentation des prix du logement et des impôts, votre épargne a perdu 32 000€ de pouvoir d’achat depuis l’an 2000.

Ce chiffre est très conservateur. Il est sans doute bien supérieur encore et si votre épargne est plus importante que la moyenne, votre manque à gagner grimpe de manière exponentielle.

Vous gagnez plus mais cela vaut moins

Depuis le début de la crise les grandes banques centrales mondiales ont injecté près de 11 000 milliards de dollars de liquidités dans l’économie.

Ce qu’il faut bien comprendre... C’est qu’aucune banque centrale n’avait ne serait-ce qu’essayé d’injecter de l’argent dans une économie avant.

Elle se contentent normalement de fixer les taux directeurs, le « prix » de l’argent et ce sont les banques commerciales qui créent l’argent selon les prêts qu’elles accordent.

Mais là... Elles ont décidé de sauver les économies en forçant la création monétaire et elles n’ont fait que tout empirer.

Quand les économies sont en croissance, les banques prêtent facilement et créent beaucoup de liquidités, ce qui génère théoriquement de l’inflation et des emplois. Au contraire, lorsque les économies sont en crise, les banques prêtent moins, les entreprises les plus faibles font faillite, le chômage augmente et l’inflation diminue.

Mais corrélation n’est pas cause, ce sont les cycles économiques qui font que chômage et inflation sont inversement corrêlés... Mais lorsque les banques centrales stimulent la création monétaire en période de crise, il n’y a aucune raison que le chômage reparte à la baisse.

Et c’est ce que l’on observe depuis 2008.

Les économies stagnent mais l’argent afflue des banques centrales... Et votre patrimoine est dilué par cette distribution gratuite aux banques, aux États et aux 1% comme vous allez voir.

Plus la banque centrale rachète de dettes... Plus il y en a

Prenez l’État Français : nous avons ajouté près de 1000 milliards de dettes publiques depuis 10 ans. C’est colossal.
Cela n’a été possible que grâce au rachat massif des dettes par la BCE... Même les taux à zéro ne suffisaient pas, il fallait encore renflouer les banques. 

Comme cette dette est gratuite, le Trésor se félicite chaque année de la charge modérée de la dette. En effet, nous avons presque doublé notre dette mais ne payons pas plus en intérêts.

Pourquoi s’en priver alors ?

Mais si les taux augmentent à nouveau, si la normalisation tant attendue se produit, alors c’est la faillite immédiate pour l’État qui ne pourra plus assurer la charge de sa dette.

Malheureusement, les comportements des banques et des 1% n’a pas été différent, ils ont profité des taux à 0 pour s’endetter encore plus plutôt que d’éteindre les créances douteuses.

1 000 millliards d’euros de dettes pourries sont nichées dans les banques européennes... C’est deux fois plus que lorsque la BCE s’est mise à les soutenir !

Le nerf de la guerre

Vous avez donc d’un côté les États, les banques et les puissants dont l’intérêt est que leur distribution d’argent gratuit continue pour qu’ils restent à flot et augmentent leur main-mise sur l’économie et la société dans son ensemble. ll faut pour cela que les taux restent à 0 et que la BCE rachète toutes les dettes pourries quand elles apparaissent.

Et de l’autre... Vous et moi, épargnants et salariés dont les salaires et patrimoines s’effondrent une fois corrigés de l’inflation réelle. Nous nous retrouvons dilués dans tant d’argent. Et l’appauvrissement réel s’accompagne d’un retour aux source d’une volonté de consommer moins mais mieux.

Derrière un équilibre apparent, se combattent une poussée inflationniste extraordinaire des actifs de l’élite financiarisée et une poussée au contraire déflationniste de la consommation des ménages.

Ne vous y trompez pas, c’est une guerre à mort qui n’a que deux issues possibles : la déflation brutale avec une nouvelle crise financière, l’éclatement des bulles des marchés actions, obligataires et immobilières... ou au contraire l’emballement, l’argent de l’hyperinflation qui brule les doigts et d’un coup se met à circuler à grande vitesse.

Dans les ceux cas, c’est la fin du système monétaire à moyenne échéance. Et la destruction de toute ou partie de votre patrimoine avec.

Ce seront des émeutes dans les rues. Une explosion de l'insécurité et des attentats qui bouleversent déjà notre pays. L'État ne sera plus en mesure d'assurer votre sécurité finanicère et physique.

Les 1% se seront reclus dans quelques havres lourdement gardés qu'ils sont déjà en train d'acheter et faire construire (c'est la dernière mode des milliardaires de la silicon valley).

La Fin du système monétaire

J'ai sur mon bureau le dernier dossier d'Olivier Delamarche où il dissèque l'agonie du système monétaire

L'accumulation monstrueuse de dettes depuis la crise de 2008 ne condamne pas seulement le système financier mais nos économies toutes entières que les élites vampirisent pour leur seul profit.

Nous vivons la fin d'un monde, c'est une certitude. Mais après ?

Vous allez découvrir avec Olivier comment vous protéger avec un coup d'avance.
 
  • Quelle est la stratégie de la Chine et quelles sont les conditions pour qu'elle prenne le leadership mondial...
  • Comment l'or deviendrait à nouveau l'étalon monétaire.
  • Les États-Unis sont-ils vraiment en train de perdre leur hégémonie ?
  • Quelle sera la place des cryptomonnaies ? Elles font aujourd'hui fonction de trouillomètre des populations.

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